Vendredi 24 juillet 2020 : Laborieuses confidences
Dans le cadre de Paysage-Paysages saison 4, un événement culturel porté Le Département de l’Isère et de Ceci n’est pas un festival Textes en l’air.
Avec la compagnie La Fabrique des petites utopies en résidence sur le territoire Saint-Marcllin-Vercors-Isère Communauté
« Pour écrire ces nouvelles confidences, nous avons rencontré tant de femmes. Elles ont bâti, usiné, cousu, briqué, langé, filé, mais rarement chômé. Elles nous ont raconté leurs vies, souvent sans se rendre compte qu’elles sont les aventurières des temps modernes.
Nous avons aussi collecté la mémoire de ces femmes aux doigts usés, aux ragots joyeux, aux accents chantants, aux voix musicales, enfin surtout les jours de fête.
Nous avons appris que, derrière ces vies de labeur, se cache toujours l’espoir d’une vie meilleure, pour elles, mais surtout pour leurs enfants.
Avec la complicité des habitantes du quartier Beausoleil à Saint Marcellin, nous avons inventé des contes où les réalités sont plus incroyables que les plus fantastiques légendes.
Ce spectacle est une balade dans le temps des femmes, un carnet de notes animé, quatre contes pour écouter le bruissement de ce quotidien du labeur conjugué au féminin.
Bruno Thircuir »
Vendredi 24 juillet 2020 : Laborieuses confidences
Dans le cadre de Paysage-Paysages saison 4, un événement culturel porté Le Département de l’Isère et de Ceci n’est pas un festival Textes en l’air.
Avec la compagnie La Fabrique des petites utopies en résidence sur le territoire Saint-Marcllin-Vercors-Isère Communauté
« Pour écrire ces nouvelles confidences, nous avons rencontré tant de femmes. Elles ont bâti, usiné, cousu, briqué, langé, filé, mais rarement chômé. Elles nous ont raconté leurs vies, souvent sans se rendre compte qu’elles sont les aventurières des temps modernes.
Nous avons aussi collecté la mémoire de ces femmes aux doigts usés, aux ragots joyeux, aux accents chantants, aux voix musicales, enfin surtout les jours de fête.
Nous avons appris que, derrière ces vies de labeur, se cache toujours l’espoir d’une vie meilleure, pour elles, mais surtout pour leurs enfants.
Avec la complicité des habitantes du quartier Beausoleil à Saint Marcellin, nous avons inventé des contes où les réalités sont plus incroyables que les plus fantastiques légendes.
Ce spectacle est une balade dans le temps des femmes, un carnet de notes animé, quatre contes pour écouter le bruissement de ce quotidien du labeur conjugué au féminin.
Bruno Thircuir »