La protection en 2004, des bâtiments de la Galicière au titre des Monuments historiques devait être complétée par celle des machines. Le 22 mars 2007, la Commission départementale des objets mobiliers vote à l’unanimité l’inscription à l’Inventaire supplémentaire des monuments historiques de l’ensemble des machines de la Galicière. Cette inscription a pu se faire grâce à un travail préparatoire d’inventaire mené avec l’aide de Monsieur Luquet, moulinier ardèchois à la retraite. Le 8 septembre 2007, la Galicière accueille des visiteurs venus de toute la région pour fêter la protection au titre des Monuments historiques des machines.
A cette occasion Nadia Crouzet, présidente de l’Association, rappelle dans son discours comment ces lieux sont sortis, il y a quelques années, de leur endormissement. Elle saisit cette occasion pour alerter le Président Vallini et les nombreuses personnalités présentes de l’urgence d’intervenir sur les toitures de la filature et de la Fabrique Basse. Quelques jours plus tard, rendez-vous est pris avec une délégation de la DRAC et les architectes des bâtiments de France, Monsieur Granclerc et Madame Schmidgen-Benaut.
La protection en 2004, des bâtiments de la Galicière au titre des Monuments historiques devait être complétée par celle des machines. Le 22 mars 2007, la Commission départementale des objets mobiliers vote à l’unanimité l’inscription à l’Inventaire supplémentaire des monuments historiques de l’ensemble des machines de la Galicière. Cette inscription a pu se faire grâce à un travail préparatoire d’inventaire mené avec l’aide de Monsieur Luquet, moulinier ardèchois à la retraite. Le 8 septembre 2007, la Galicière accueille des visiteurs venus de toute la région pour fêter la protection au titre des Monuments historiques des machines.
A cette occasion Nadia Crouzet, présidente de l’Association, rappelle dans son discours comment ces lieux sont sortis, il y a quelques années, de leur endormissement. Elle saisit cette occasion pour alerter le Président Vallini et les nombreuses personnalités présentes de l’urgence d’intervenir sur les toitures de la filature et de la Fabrique Basse. Quelques jours plus tard, rendez-vous est pris avec une délégation de la DRAC et les architectes des bâtiments de France, Monsieur Granclerc et Madame Schmidgen-Benaut.